INTRICATION QUANTIQUE NATURELLE :
VERS UNE NOUVELLE VISION DE LA PHYSIQUE ET DE L'UNIVERS
INTRODUCTION : DÉFINITION DE L'INTRICATION QUANTIQUE NATURELLE
Et si la lumière n’était pas un flot de particules se déplaçant dans le vide, mais l’expression d’un champ dynamique, au même titre que la gravitation et le magnétisme sont des champs statiques ? Là où l’aimant impose une influence immobile, la lumière naît d’une excitation périodique de la matière qui engendre un champ électromagnétique dynamique. Par son action, elle imprime des variations visibles dans la matière et suggère que gravité, magnétisme et électromagnétisme pourraient n’être que des manifestations différentes des propriétés fondamentales de la matière, à côté desquelles nous passons sans les apercevoir. Dans cette vision, le concept de particule se déplaçant dans le vide disparaît, remplacé par celui d’un champ agissant par influence. Ces caractéristiques particulières sont arbitrairement nommées « INTRICATION QUANTIQUE NATURELLE ». C’est ce qui va être développé dans ce qui suit.
📑 Sommaire
- Préambule
- Historique
- Postulat
- Expérience de Young
- Corpuscule
- Superposition
- Mesure
- Probabilité
- Relativité
- Applications
- Conclusion
🟦 1. PRÉAMBULE
L’expérience de Young (Fente de Young), revisitée par Claus Jönsson et Anton Zeilinger, révèle un comportement étrange : l’entité observée (qu'on nomme particule ou photon) agit tantôt comme une onde, tantôt comme une particule, selon qu’on mesure ou non ce qui passe derrière une des fentes. C'est tout à fait contre intuitif.
Cette observation nourrit une intuition ancienne qui a murit dans mon esprit, alors que je me questionnais sur la nature des couleurs que nous percevons : et si la couleur était une réponse à une sollicitation de la matière, et non un rayonnement. Autrement dit : et si ce que nous percevons n’était pas le résultat d’un déplacement de particules, mais de ce que je nomme "intrication quantique naturelle" entre les corps distants, leur excitation et leur réaction à distance ? Comme un aimant qui attire sans contact, ou la gravitation qui agit sans lien matériel, la lumière pourrait “éclairer” par influence, grâce à un champ lumineux, et non par émission de photons voyageant dans l’espace. Le champ lumineux, tout comme le champ magnétique d'un aimant, est invisible et ne peut apparaitre que si de la matière émettrice est stimulée et que de la matière réceptrice se trouve a sa portée. A la différence du champ magnétique qui est statique, le champ lumineux nécessite une variation spécifique pour se rendre visible, tout comme les ondes électromagnétiques. Le mot "intrication" est souvent associé aux expériences modernes de laboratoire, —et nombreux sont les scientifiques qui réfutent la vision présentée ici car remettant en cause les bases actuelles de la physique—, mais elle doit être interprétée ici comme une propriété intrinsèque universelle de la matière, qui la relie encore aux origines de sa création : le Big Bang.
Cette hypothèse, bien qu’audacieuse, n’est pas contredite par l’observation directe. Elle offre une lecture unifiée des phénomènes de cohérence et d’interférence, en repensant ce qui “se propage” est ce qui, en réalité, influe. Toutes les forces (magnétique, électromagnétique (dont la lumière), gravitationnelle, etc) ont une seule origine : la matière et les liens profond qui la relient et qui se manifestent de manières différentes, suivant la nature de l'exitation qui donne naissance à ce qu'on constate. Ce peut être une force, une lueur ou tout autre effet physique.
🟦 2. HISTORIQUE
Depuis l’Antiquité, les penseurs ont tenté de comprendre la nature de la lumière et des interactions à distance. Les Grecs, notamment Empédocle, imaginaient que la lumière émanait des objets et entrait dans l’œil, ou inversement. Cette vision intuitive d’un lien direct entre l’objet et l’observateur a traversé les siècles, bien que la physique moderne l’ait remplacée par des modèles plus abstraits.
Avec Newton, la lumière devient un flux de corpuscules. Puis Huygens propose une théorie ondulatoire, inspirée par l’observation des ondes à la surface de l’eau : lorsqu’un caillou tombe dans un étang, des cercles concentriques se propagent. Cette analogie frappe les esprits : et si la lumière se comportait de la même manière ? Non comme une pluie de particules, mais comme une perturbation qui se diffuse dans un milieu.
Cette idée d’onde traverse les siècles. Maxwell unifie les champs électriques et magnétiques en une onde électromagnétique. Einstein introduit la relativité restreinte, où la lumière devient une constante universelle. Puis la mécanique quantique bouleverse tout : la lumière est à la fois onde et particule, selon le dispositif d’observation.
Mais ces modèles, bien qu’efficaces, restent fragmentés. Ils ne rendent pas compte d’une cohérence globale, ni d’une interaction sans échange de matière. L’idée d’une intrication quantique naturelle, présente depuis mes premières intuitions, revient ici comme une tentative de réconcilier les visions anciennes et modernes : une lumière qui ne se déplace pas, mais qui relie.
🟦 3. POSTULAT
📘 Qu’est-ce qu’un postulat ?
Un postulat est une affirmation de départ, posée comme vraie sans démonstration, qui sert de base à un raisonnement ou à une théorie. En physique, les postulats ne sont pas des vérités révélées, mais des choix structurants : ils définissent le cadre dans lequel les phénomènes sont interprétés, mesurés et modélisés.
🕰️ Quelques grands postulats fondateurs
Antiquité : Le mouvement naturel des corps (Aristote), la lumière comme émanation ou réception.
Galilée : Le principe d’inertie — un corps conserve son mouvement en l’absence de force.
Newton : Les trois lois du mouvement et la gravitation universelle — les corps s’attirent selon leur masse et leur distance.
Einstein : La constance de la vitesse de la lumière et l’équivalence des référentiels inertiels (relativité restreinte).
Mécanique quantique : Le principe de superposition, l’indétermination de Heisenberg, la réduction du paquet d’ondes.
Modèle standard : Les symétries fondamentales et les invariances comme fondement des interactions élémentaires.
Ces postulats ont permis de bâtir des modèles puissants, capables de prédire avec précision les résultats expérimentaux. Mais ils ne sont pas les seuls possibles. Les mathématiciens ont souvent ajusté les équations pour qu’elles coïncident avec les observations, en construisant des cadres formels adaptés aux données disponibles. Ce sont des systèmes d’adéquation, pas des vérités absolues. Il serait tout à fait envisageable de reformuler ces modèles à partir d’autres postulats — comme celui d’une cohérence structurelle ou d’une intrication quantique naturelle — mais cela reste difficile. Cela demande de repenser les fondations des modèles, et non simplement d’ajuster les paramètres.
🌐 Le postulat de l’intrication quantique naturelle
Le postulat proposé ici est simple et radical, il résout le paradoxe de l'onde/particule : l’intrication est naturelle et universelle. Elle ne procède pas d’un artefact de laboratoire, comme dans les dispositifs quantiques, mais s’exprime comme une réaction spontanée de la matière à une sollicitation distante émanant d’un autre corps, dont l’organisation intriquée est en mutation.
Contrairement à l’intrication artificielle produite en laboratoire — qui est un artefact technique, dépendant d’un protocole précis et de particules préparées — la manifestation de l’intrication quantique naturelle est luminique. Elle concerne directement les phénomènes de cohérence observés dans la lumière, sans manipulation ni instrumentation. Elle est spontanée, stable, et non localisée.
Cette distinction souligne que l’intrication artificielle repose sur une construction expérimentale, révélant une liaison instantanée entre des particules préparées selon un protocole technique. Elle constitue un artefact contrôlé, limité dans le temps et dans l’espace, et interprété selon une logique probabiliste.
À l’inverse, l’intrication quantique naturelle ne révèle pas une liaison ponctuelle, mais une cohérence globale, inhérente à la structure du système. Elle ne se limite pas aux seuls phénomènes lumineux, mais s’étend à un champ plus vaste de cohérences physiques, où la lumière n’est qu’un cas emblématique. Elle n’est pas instantanée, mais structurelle — elle ne se déclenche pas, elle s’actualise dès qu’une configuration géométrique ou un système d’interaction est en place.
Le laser, tout comme l’intrication artificielle, constitue un artefact technique qui n'existe pas à l'état naturel : il illustre notre capacité à concevoir des dispositifs artificiels. À l’inverse, l’intrication quantique naturelle ne nécessite ni préparation, ni instrumentation : elle émerge dès qu’une configuration géométrique ou un système d’interaction est en place — comme une organisation intrinsèque, immédiate, et non propagée, propre à la structure globale du champ concerné. On peut alors la comparer à l'effet d'un aimant sur un matériau magnétique, en remplaçant la force d'attration générée par une manifestation lumineuse que nous percevons.
Ce que l’on observe dans ces phénomènes n’est pas une interaction au sens classique. Il ne s’agit pas d’un transfert, ni d’une causalité, mais d’un lien structurel. Ce lien ne transporte rien, ne cause rien, mais organise. Il rend compte de la cohérence observée dans les phénomènes lumineux, sans supposer le déplacement de photons. Il agit comme une résonance entre les éléments du dispositif : source, cible, obstacle, capteur, et tout ce qui les relie.
Ainsi, ce postulat permet de dépasser les paradoxes de la physique quantique, en proposant une lecture non locale, non probabiliste, et non corpusculaire des phénomènes. Il ne s’oppose pas aux observations, mais les réinterprète dans une logique de cohérence structurelle.
🟦 4. EXPÉRIENCE MODERNE DES DEUX FENTES DE YOUNG
🎯 Le protocole expérimental
L’expérience des deux fentes a été reprise et raffinée au XXe siècle, notamment par Claus Jönsson (1961) avec des électrons, puis par Anton Zeilinger et son équipe dans les années 1990 et 2000, avec des photons, des neutrons, des atomes, voire des molécules complexes comme les fullerènes.
Dans ces versions modernes, les chercheurs envoient une seule particule à la fois vers les deux fentes. Il n’y a donc aucun risque d’interférence entre plusieurs entités. Pourtant, au fil des impacts, un motif d’interférences se dessine progressivement sur l’écran, comme si chaque particule “savait” qu’il y a deux chemins possibles.
🧠 L’interprétation classique
La mécanique quantique interprète ce phénomène comme une dualité onde-particule. Chaque entité serait dans un état de superposition, passant par les deux fentes en même temps, interférant avec elle-même. Tant qu’on ne cherche pas à savoir par quelle fente elle est passée, le motif d’interférences apparaît.
Mais si l’on place un détecteur derrière une fente pour “observer” le passage, le motif disparaît. On obtient alors un comportement de particule classique. L’acte de mesure semble “réduire” l’état quantique, comme si l’observation modifiait le réel.
🌐 L’interprétation par intrication quantique naturelle
Dans cette lecture nouvelle, il n’y a ni onde ni particule. Ce que l’on observe est le résultat d’une cohérence structurelle entre les éléments du dispositif : source, fentes, cible, capteur. L’entité ne “choisit” pas son comportement. C’est la structure intriquée du système qui détermine le motif.
Les fentes ne sont pas des séparateurs de trajectoire, mais des modulateurs de cohérence. La cible réagit à une structure invisible. L’émetteur active une liaison. Et le capteur — souvent négligé — joue un rôle fondamental : il prélève une portion de la cohérence, et ce prélèvement modifie l'état global du système, redéfinissant les interférences et déterminant le résultat observé.
Un capteur n’est jamais neutre. Comme un voltmètre qui prélève une part de la grandeur qu’il mesure, il agit comme un parasite : il interfère avec ce qu’il révèle. Il ne capte pas un signal isolé, il altère la cohérence du dispositif afin d'évaluer le résultat et donner une information exploitable par les chercheurs
Ainsi, les franges d’interférence ne sont pas causées par une entité (communément appelée photon ou particule en langage courant) qui passe par deux fentes, mais par une résonance globale du système. Lorsque cette cohérence est rompue — par une mesure, une perturbation, ou une dissymétrie — le motif change. Ce n’est pas une particule qui “choisit”, mais une structure qui réagit.
❓ Une question jamais posée
Que se passe-t-il devant une frange ? Aucune publication à ce sujet ! Il semble donc qu’aucune expérience n’ait été menée pour déterminer ce qui se passe devant une frange d’interférence — c’est-à-dire dans la zone où la cohérence est maximale. On mesure derrière, on perturbe à l’entrée, mais on ne s'interroge pas sur le cœur du motif.
Or, une telle exploration pourrait apporter des enseignements. Elle permettrait de :
- 🔍 Tester la structure spatiale de la cohérence
- 📐 Vérifier si la frange est un simple motif statistique ou une zone de résonance réelle
- 🧩 Révéler la nature du lien intriqué : est-il localisable, réactif, modulable ?
Ce serait une manière de sonder la cohérence elle-même, et non ses effets. Une physique de l’intrication quantique naturelle ne peut ignorer ce point aveugle : ce qui se passe là où le motif est le plus net.
🟦 5. CORPUSCULE
L’idée que la lumière serait constituée de corpuscules — des “photons” — est une construction théorique née pour expliquer certains résultats expérimentaux. Elle est pratique, mais son origine est un reliquat des interprétations du passé. Elle mérite d'être reconsidérée avec de nouvelles bases. Car cette ancienne vision pose problème : comment un corpuscule doté d’une masse nulle, pourrait-il interférer, se diffracter ou même se propager comme une onde ?
Dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, le modèle corpusculaire devient inutile. Ce que l’on observe n’est pas le comportement d’un objet localisé, mais la réaction d’un système intriqué. Ce n'est pas la particule qui voyage, mais une cohérence entre les éléments du dispositif — source, fentes, cible, capteur dans le cas de l'expérience de Young—
Les franges d’interférence ne sont pas causées par des photons qui se croisent, mais par une structure de cohérence qui se manifeste dans le dispositif.
Ainsi, le corpuscule n’est pas une réalité physique intrinsèque, mais une modélisation utile dans certains contextes expérimentaux. L’intrication quantique naturelle permet de s’en affranchir, en proposant une lecture plus cohérente et plus universelle des phénomènes lumineux, fondée sur la globalité du système plutôt que sur le déplacement d’entités localisées.
🟦 6. SUPERPOSITION
La superposition est souvent décrite comme un état flou, où une particule serait “à la fois ici et là”. Cette interprétation repose sur une vision probabiliste du réel.
Dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, la superposition n’est pas une coexistence d’états, mais la manifestation d’une cohérence multiple. Ce n’est pas l’entité observée qui est dans plusieurs états, mais le système global qui résonne selon plusieurs configurations compatibles.
Dans l’expérience des deux fentes, ce n’est pas une particule qui passe par deux fentes, mais une structure intriquée qui produit des franges selon la cohérence du dispositif.
La superposition devient alors un effet de structure, révélant la richesse de l’intrication quantique naturelle, capable de produire des effets multiples sans contradiction.
🟦 7. MESURE
La mesure, en physique quantique, est souvent vue comme un acte perturbateur : elle “fait apparaître” un état en détruisant la superposition. Ce processus semble introduire une discontinuité dans le réel.
Mais dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, la mesure est une révélation, non une rupture. Elle active une cohérence déjà présente. Le capteur réagit à une structure intriquée. Il ne reçoit pas un signal, il résonne avec l’ensemble du dispositif.
Dans l’expérience des fentes, mesurer derrière une fente ne modifie pas le comportement de la particule, mais celui de la cohérence du système.
La mesure devient un phénomène structurel, révélant une organisation invisible, qui ne se réduit pas à un échange de matière ou d’énergie.
🟦 8. PROBABILITÉ
La physique quantique repose largement sur le calcul des probabilités. Elle ne décrit pas ce qui est, mais ce qui pourrait être, avec une certaine chance d’occurrence. Cette approche, bien qu’efficace pour prédire des résultats statistiques, laisse le réel dans une forme d’indétermination permanente.
Mais dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, la probabilité n’est pas une propriété fondamentale du réel. Ce que nous appelons “probabilité” est en réalité le résultat d’une cohérence partielle. Lorsque le dispositif n’est pas parfaitement intriqué, les effets observés semblent aléatoires. Mais cette “chance” n’est que le reflet d’une structure incomplète, ou d’une résonance imparfaite.
Exemple : les franges d’interférence disparaissent si l’on perturbe le dispositif, non parce que le phénomène devient aléatoire, mais parce que la cohérence est rompue.
Ainsi, la probabilité devient un outil de calcul, et non un fondement du réel. Elle mesure notre ignorance de la structure intriquée, mais ne définit pas la nature physique des phénomènes. L’intrication quantique naturelle propose une lecture déterministe, mais non locale, fondée sur la cohérence plutôt que sur le hasard.
🟦 9. RELATIVITÉ
La relativité, telle qu’énoncée par Einstein, repose sur des principes fondamentaux : la constance de la vitesse de la lumière, l’équivalence des référentiels, et l’impossibilité de transmettre une information plus vite que cette vitesse limite. Ces principes ont permis de réconcilier l’espace et le temps dans une structure cohérente, mais locale.
L’intrication quantique, telle qu’elle est observée, semble violer cette limite : deux systèmes réagissent instantanément, quelle que soit la distance. Cela pose un problème : comment concilier cette non-localité avec les fondements de la relativité ?
Dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, il n’y a pas de transmission d’information. Le lien n’est pas causal, mais structurel. Il ne traverse pas l’espace, il organise l’espace. Il ne se propage pas dans le temps, il structure le temps. Ainsi, il ne contredit pas la relativité, mais la complète.
Exemple : deux éléments intriqués réagissent ensemble non parce qu’ils échangent un signal, mais parce qu’ils font partie d’une même structure cohérente.
L’intrication quantique naturelle permet donc une lecture non locale, mais non violente pour la relativité. Elle ouvre la voie à une physique unifiée, où la cohérence structurelle remplace la causalité locale.
🟦 10. APPLICATIONS
L’intrication quantique naturelle propose une lecture nouvelle de nombreux dispositifs physiques. Elle ne cherche pas à ajouter une couche d’interprétation, mais à révéler une cohérence sous-jacente que les modèles classiques occultent. Voici quelques exemples.
🌈 Lumière et couleurs
La lumière est traditionnellement décrite comme une onde électromagnétique ou un flux de photons. Les couleurs, quant à elles, sont interprétées comme des longueurs d’onde différentes, absorbées ou réfléchies par les objets.
Mais dans le cadre de l’intrication quantique naturelle, la lumière n’est pas une entité qui se déplace. Elle est une structure de cohérence entre les éléments du dispositif : source, milieu, cible, observateur. Elle relie sans transporter.
Les couleurs ne sont pas des fréquences isolées, mais des modulations de cohérence. Ce que nous percevons comme “rouge”, “bleu” ou “vert” est le résultat d’une résonance spécifique entre la lumière émise, la matière rencontrée, et la structure de réception.
Un objet n’a pas une couleur en soi. Il active une cohérence particulière dans le dispositif lumineux. La couleur est une réaction intriquée, non une propriété locale.
Ainsi, la lumière devient un champ de cohérence, et les couleurs des effets de structure. Ce n’est pas une onde qui voyage, ni un photon qui rebondit, mais une organisation invisible qui produit des effets visibles.
🔁 Cyclotron
Le cyclotron n’est pas un accélérateur de particules au sens strict. Il fonctionne comme un modulateur de cohérence : sa géométrie et sa fréquence influencent la structure intriquée du système. Ce n’est pas une machine à projeter, mais un résonateur qui organise une réponse cohérente.
💡 Laser
Le laser n’émet pas des photons comme des projectiles. Il active une cohérence stable dans l’espace, entre l’émetteur, le milieu traversé et la cible. Il agit comme un chef d’orchestre, synchronisant les éléments sans transmettre de matière.
🌌 Matière noire
La matière noire ne serait pas une substance invisible, mais une résonance gravitationnelle d’un lien non local. Ce lien, intriqué à grande échelle, modifie la dynamique des galaxies sans nécessiter de masse cachée. Ce n’est pas une matière manquante, mais une cohérence invisible.
🌠 Énergie noire
L’énergie noire ne pousse pas l’univers à s’étendre. Elle serait le gradient d’une cohérence intriquée qui se dilue à mesure que l’univers se structure. Ce n’est pas une force mystérieuse, mais une variation de cohérence dans l’espace-temps.
🟦 11. CONCLUSION
L’intrication quantique naturelle et universelle propose une lecture radicalement nouvelle du réel. Elle dépasse les modèles corpusculaires, probabilistes et localisés, pour offrir une vision cohérente, non locale et structurelle de l’univers.
Dans cette perspective, les phénomènes physiques ne sont plus des interactions entre objets, mais des manifestations d’un lien fondamental. Ce lien, invisible mais omniprésent, organise l’espace, le temps, la matière et l’énergie dans une harmonie globale.
Ce n’est pas une théorie de la lumière, ni une mécanique des particules, mais une physique de la cohérence — une physique où la lumière, la gravitation, la mesure et la superposition ne sont pas des mystères, mais des effets d’une structure intriquée.
Pourtant, cette intrication semble se manifester à vitesse luminique, ce qui soulève une interrogation fondamentale : comment une cohérence peut-elle se structurer progressivement sans support ondulatoire ? Si l’on rejette l’idée d’une onde qui se propage, alors la vitesse de la lumière ne serait pas celle d’un transport d’information, mais celle d’une mise en place dynamique — le rythme auquel la structure intriquée devient physiquement effective dans notre cadre spatio-temporel.
Dans ce contexte, la distance entre les composantes du système n’affecte pas la cohérence elle-même, mais la manière dont elle se configure dans l’espace. Elle agit comme un modulateur géométrique, influençant les conditions d’interférence, les zones de résonance, et le moment d’apparition des effets intriqués. Ce n’est donc pas la cohérence qui voyage, mais le point d’interaction dans l’ensemble expérimental ou phénoménologique — c’est-à-dire le lieu précis où la relation intriquée se traduit en événement observable, en fonction de la structure globale du système.
L’avenir de la science pourrait bien résider dans cette réconciliation entre le local et le global, entre le visible et l’invisible, entre le mesurable et le cohérent — une science qui ne cherche plus à isoler les objets, mais à comprendre la logique profonde de leur interdépendance.
Références et bibliographie
Expériences et concepts fondamentaux
Fentes de Young — Wikipédia :
Intrication quantique — Wikipédia :
Principe d’incertitude de Heisenberg — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_d’incertitude
Superposition quantique — Wikipédia :
Réduction du paquet d’ondes — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Réduction_du_paquet_d’ondes
Modèle standard de la physique des particules — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Modèle_standard_de_la_physique_des_particules
Figures historiques et scientifiques
Empédocle — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Empédocle
Isaac Newton — Wikipédia :
Christiaan Huygens, Traité de la lumière — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Traitéde_la_lumière(Huygens)
James Clerk Maxwell — Wikipédia :
Albert Einstein (E=mc²) — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/E=mc²
Galilée (principe d’inertie) — Wikipédia :
Claus Jönsson — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Claus_Jönsson
Anton Zeilinger — Wikipédia :
Cosmologie et physique contemporaine
Big Bang — Wikipédia :
Matière noire — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Matière_noire
Énergie noire — Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Énergie_noire
